Jean-Pierre ALAUX
Romancier - Scénariste - Journaliste
Né le 6 septembre 1955 à Cahors (Lot).
Homme de radio (Sud-Radio, Europe 2, La Radio de la Mer, Radio Présence, Totem) et de télévision (Télé-Toulouse), journaliste, romancier, nouvelliste, scénariste, Jean-Pierre Alaux est l'auteur, avec Noël Balen, de la série oeno-policière Le Sang de la vigne publiée,
depuis 2004, chez Fayard.
Cette collection compte aujourd'hui 25 volumes, tous se déroulant au coeur des plus prestigieuses appellations viticoles de France.
Le dernier opus s'intitule "La mort du nouveau nez" (Fayard) et prend racine au coeur du vignoble de Gaillac, au pays des 1 000
pigeonniers !
Cette série vient d'être adaptée également en BD aux éditions Glénat. 3 tomes sont déjà parus dont le dernier en date "Sous la robe de Margaux". Rappelons qu'elle fait l'objet d'une remarquable adaptation en TV sur France 3 avec Pierre Arditi (Produite par Télecip sous la houlette de Lissa Pillu) qui connaît un vrai succès d'audience.
Par ailleurs, il a créé un nouveau personnage : Séraphin Cantarel, conservateur des musées de l'Hexagone, qui fait le bonheur des lecteurs de la collection Grands détectives (10/18). Avec Théo, son précieux assistant, ils dénouent des intrigues ancrées dans des lieux patrimoniaux tels que le Palais de la Berbie à Albi (Toulouse-Lautrec en rit encore), le phare de Cordouan (Avis de tempête sur Cordouan) la cathédrale de Reims (Et l'ange de Reims grimaça) ou la citadelle du Mont Saint-Michel (Saint-Michel, priez pour eux !). Le dernier en date a pour cadre la cité mariale de Rocamadour (La Pomme d'or de Rocamadour).
A sa passion pour le vin (il est aussi l'auteur chez Féret d'un album consacré aux alliances Vins & Cigares ainsi que d'un ouvrage intitulé Liqueurs d'en France -Prix spécial du jury des bibliothèques gourmandes 2009), Jean-Pierre Alaux confesse un engouement affiché pour l'univers et l'imaginaire de la mer.
Après Voyage au bout des phares (Prix du livre de la mer d'Ouessant 2007) publié chez Elytis et Histoires à jeter l'ancre (Cinq Sens Editions), il signe Monstres marins et autres curiosités (Elytis) et un recueil de nouvelles Avec vue sur l'océan (Editions de La Cheminante).
En 2011, il décroche le prix Antonin Carême pour son livre "La truffe sur le soufflé" paru aux éditions Féret et directement inspiré du génie culinaire d'Alexis Pélissou, le chef du Gindreau, considéré comme l'un des papes de la cuisine à la truffe. Par ailleurs, il vient de publier "Si le Terminus m'était conté", l'histoire du célèbre hôtel cadurcien qui fête son centenaire et dont la cuisine est signée Gilles et Alexandre Marre.
En octobre 2012, il sort chez 10/18 le 3ème opus des aventures de Séraphin Cantarel : "Et l'ange de Reims grimaça" qui a pour cadre la cathédrale du sacre des rois de France. Du reste, l'ouvrage a été présenté en exclusivité au salon Inter Polar de Reims.
En 2013, conjointement, il poursuit les aventures de Benjamin Cooker avec son complice d'écriture Noël Balen ainsi que celles de Séraphin Cantarel (collection Grand Détectives). Cette dernière série fait l'objet également d'une adaptation BD chez Delcourt.
En 2014, avec son complice Noël Balen, il a publié un nouvel opus du Sang de la vigne : "Un coup de rosé bien frappé" (Fayard) dont l'action se déroule dans le vignoble varois, du côté de Saint-Tropez.
En 2016, paraît "Raisin et sentiments" qui a pour cadre le Bergeracois.
Vient de sortir en librairie : La mort du nouveau nez (Fayard) dont l'intrigue se déroule dans le vignoble de Gaillac.
Dans la collection "Le Châtiment des pierres", chez 10/18, Jean-Pierre Alaux vient de publier le tome 5 qui a pour cadre les sanctuaires de Rocamadour.
Vient de sortir en BD le tome 2 des aventures de Séraphin Cantarel : Saint-Michel, priez pour eux ! qui fait suite à Avis de tempête sur Cordouan chez Delcourt.
A lire également aussi son ouvrage culinaire avec le photographe toulousain David Nakache : "Le Pont de l'Ouysse, une histoire de famille" consacré aux chefs lotois Daniel et Stéphane Chambon.
Dans son actualité du moment, on notera le "polar astronomique" qu'il vient d'écrire avec l'astrophysicienne Sylvie Vauclair : "Le Soleil ne se cachera pas pour mourir" qui a pour cadre l'observatoire du Pic du Midi.
En 2018, il se consacre à l'écriture de deux pièces de théâtre et à la scénarisation de son premier long métrage co-écrit avec la réalisatrice Melha Bossard.
En 2019, il a publié au Geste Noir le tome 6 des aventures de Séraphin Cantarel : Quand le diable dansait à Ilbarritz (Geste Noir) et
Je n'irai pas par 4 chemins (collection Lire entre les vignes).
La même année est paru au Geste Noir "Fontaine, je ne boirai pas de ton sang !", l'opus n°7 des tribulations de Séraphin Cantarel avec son complice Théo Trélissac. Dans le même temps, est réédité Avis de tempête sur Cordouan au Geste Noir.
En 2020, il publie chez Elytis, la biographie de David Labarre, ce sportif malvoyant à la conquête des plus hauts sommets du monde sous le titre "L'Aventure à perte de vue"
En 2021, il signe un édito sous forme de coup de coeur tous les samedis à 11 h 10 sur le réseau de radio Totem.
Depuis octobre 2021, Jean-Pierre Alaux préside aux destinées de l'Association pour la Renaissance des Jardins Extraordinaires d'Henri Martin (ARJEHM) qui oeuvre pour une renaissance des jardins conçus par le célèbre peintre à Labastide du Vert (46), le "Giverny du Sud-Ouest". Ces jardins réhabilités grâce à la Mission Bern ont été inaugurés en juillet 2024 par la productrice de télévision Mireille Dumas.
Au printemps 2022, il publie Marquayrol, les jardins d'Henri Martin chez Toute Latitude Editions, ouvrage très personnel qui met en exergue la demeure lotoise du peintre qui fut la source de toutes ses inspirations.
En 2023, les deux titres des aventures de Séraphin Cantarel : Toulouse-Lautrec en rit encore et La Pomme d'or de Rocamadour viennent d'être réédités aux éditions Toute Latitude.
En 2024, il publie chez Toute Latitude "Contes & Légendes de Garonne" ainsi que "Moi, Marie-Charlotte, dans l'ombre et la la lumière d'Henri Martin" avec Melha Mammeri.
A noter que, depuis juin 2020, Jean-Pierre Alaux est maire d'Albas (Lot), où il réside dans l'ancien château des Evêques de Cahors. Il est aussi vice-président de la Communauté de Communes de la Vallée du Lot et du vignoble en charge du tourisme.
Parmi les dernières publications :
- Moi, Marie-Charlotte, dans l'ombre et la la lumière d'Henri Martin (Toute Latitude) avec Melha Mammeri
- Contes & Légendes de Garonne (Toute Latitude)
- Marquayrol, les jardins d'Henri Martin (Toute Latitude)
- David Labarre, l'aventure à perte de vue (Elytis)
- Fontaine, je ne boirai pas de ton sang ! (Geste Noir)
- Avis de tempête sur Cordouan (Réédition) au Geste Noir
- Quand le diable dansait à Ilbarritz (Meurtres au Pays basque) au Geste Noir.
- Le Soleil ne se cachera pas pour mourir - avec Sylvie Vauclair chez Privat
- La mort du nouveau nez - avec Noël Balen (Le Sang de la vigne) chez Fayard
- Raisin et sentiments - avec Noël Balen (Le Sang de la vigne) chez Fayard
- La Pomme d'or de Rocamadour - Collection "Grands Détectives" chez 10/18/ Réédité chez Toute Latitude Editions
- Un coup de rosé bien frappé, avec Noël Balen (Fayard) - Collection "Le Sang de la vigne"
- Le Pont de l'Ouysse, une histoire de famille, avec le photographe David Nakache.
- Saint-Michel, priez pour eux ! - Collection "Grands détectives" chez 10/18
- Crise aiguë dans les Graves, avec Noël Balen (Fayard) - Collection "Le Sang de la vigne"
- Massacre à la sulfateuse, avec Noël Balen (Fayard) - Collection "Le Sang de la vigne"
- Osez Bordeaux ! ouvrage collectif (Elytis)
- Et l'ange de Reims grimaça - Collection "Grands détectives" chez 10/18
- Médoc sur ordonnance, avec Noël Balen (Fayard) - Collection "Le Sang de la vigne"
- On achève bien les tonneaux, avec Noël Balen (Fayard) - Collection "Le Sang de la vigne"
- Nuit d'ivresse en Castille, avec Noël Balen (Fayard) - Collection "Le Sang de la Vigne"
- Si le Terminus m'était conté - Editions Le Balandre.
- Passeport pour Cordouan (Elytis)
- Toulouse-Lautrec en rit encore ! Collection Grands détectives chez 10/18
- Une dernière nuit avec Jimmy (biographie de James Dean) chez Calmann-Lévy
"Un roman audacieux, passionnant et émouvant" Philippe Vallet - France Info
- Romain Mesnil, ma vérité toute nue (biographie du vice-champion du monde du saut à la perche) chez Solar.
- La truffe sur le soufflé en collaboration avec Alexis Pélisssou chez Féret
Les inconditionnels des aventures de Séraphin Cantarel, Conservateur en chef des Monuments Français, peuvent être rassurés. Leur héros, flanqué de sa femme archéologue et de son jeune assistant Théo, sont de retour pour une nouvelle énigme ancrée au coeur d'un monument cher à son auteur : le Pont Valentré de Cahors. En effet, Jean-Pierre Alaux colle au plus près de l'actualité. L'unique pont militaire d'Europe, classé au Patrimoine Mondial de l'UNESCO, est en bien mauvais état et Cantarel vole à son chevet au prix de découvertes macabres et d'un suspens qui tient en haleine le lecteur. Sortie annoncée : 24 janvier 2025 chez Toute Latitude sous le titre Sur le pont Valentré, on ne dansera plus !. Un euro par livre sera reversé à la Fondation du Patrimoine pour la restauration de chef d'oeuvre que l'on ne croyait pas en péril.
Si l'oeuvre du peintre Henri Martin est connue de beaucoup d'amateurs d'art, en revanche, aucun ouvrage n'est consacré à sa vie. Cette lacune est aujourd'hui comblée avec un texte écrit par Jean-Pierre Alaux et Melha Mammeri qui vient de paraître aux éditions Toute Latitude sous le titre "Moi, Marie Charlotte, dans l'ombre et la lumière d'Henri Martin".. L'auteur du "Sang de la vigne" et sa complice se sont mis dans la peau de Marie-Charlotte Barbaroux, l'épouse du peintre, qui, au lendemain de la mort de son mari, raconte sa vie aux côtés de ce peintre postimpressionniste. Ce texte fait l'objet de lecture théâtrale en Occitanie. La comédienne Melha Mammeri endosse les habits de Madame Martin, elle est accompagnée à la harpe par Hélène Gaurier.
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On connaît la passion de l'auteur du "Sang de la vigne" pour les terres du pays d'Oc. Aussi Jean-Pierre Alaux vient-il de rassembler pour le compte de la maison d'édition "Toute Latitude" une vingtaine de contes et de légendes glanées sur les bords de Garonne. Un ouvrage plein de philosophie où le diable emprunte des chemins détournés pour tromper les "bonne gens". A lire à l'ombre des peupliers qui longent la Garonne...
Dans le cadre des Journées Européennes du Patrimoine, Jean-Pierre Alaux, président de l'ARJEHM (Association pour la Renaissance des Jardins Extraordinaires d'Henri Martin) et lauréat de la Mission Bern 2022 sera ce dimanche 17 septembre, à 7 h 30, l'invité de la rédaction de Sud-Radio pour évoquer l'importance de la Mission Bern dans la sauvegarde d'un lieu patrimonial qui était promis à l'oubli.
L'homme de radio Jean-Pierre Alaux, fidèle collaborateur depuis 5 ans du réseau de radios Totem, figure dès ce lundi sur la grille de rentrée de la célèbre radio du Grand Sud. Il signera chaque lundi dans la matinale une chronique où il évoquera les personnalités qui ont jalonné sa carrière de journaliste et de romancier. A écouter ou réécouter en podcast !
Depuis le 18 août, chaque vendredi à 21 h, C8 rediffuse les différents épisodes du Sang de la Vigne. Initiative heureuse de la part du Groupe Canal Plus car, dès la première diffusion, la chaîne a enregistré la 4ème audience de la soirée, toutes chaînes confondues. A l'heure des vendanges, c'est un bonheur de retrouver Pierre Arditi en fringant oenologue parmi les vignes des plus beaux terroirs de France.
Celui qui préside aux destinées de l'ARJEHM (Association pour la Réhabilitation des Jardins Extraordinaires d'Henri martin) est un homme heureux. En effet, Jean-Pierre Alaux s'est vu signifier par la Fondation du Patrimoine une enveloppe de 300 000 € destinée, dans le cadre de la Mission Bern, à assurer la renaissance des jardins du peintre postimpressionniste. L'auteur du Sang de la vigne avait sensibilisé Stéphane Bern sur la nécessité de sauver ces jardins enfouis dans la nature. En effet, Henri Martin avait fait de sa maison de Marquayrol (commune de Labastide du Vert dans le Lot) "son Giverny". Grâce à cette aide et aux 600 bénévoles que compte l'association, ce pari un peu fou est en passe d'être gagné. Cet été, tous les week-end, on pourra visiter ces jardins ainsi que l'atelier du peintre.