C'est le 12 avril 2022 que sortira en librairie l'ouvrage Marquayrol, les jardins d'Henri Martin publié aux éditions Toute Latitude. Jean-Pierre Alaux évoque la propriété du peintre post-impressionniste Henri Martin située à Labastide du Vert, dans le Lot. C'est dans cette magnifique demeure que le peintre a constitué une oeuvre magistrale que l'on retrouve dans la plupart des musées et ville de France. A l'instar de Claude Monet, il avait créé son "Giverny", des jardins faits de tonnelles, de pergolas, de gloriettes, de bassins. Ce décor édénique a inspiré une majorité de ses toiles. D'une plume empreinte de poésie, de lyrisme, mais aussi de rigueur historique, l'auteur du "Sang de la vigne" dévoile une autre facette dans son art de raconter. Il faut dire qu'il a pris la présidence de l'ARJEHM, l'Association pour la Réhabilitation des Jardins Extraordinaires d'Henri Martin. A la lecture de ce livre, on a qu'une envie : se rendre toutes affaires cessantes à Marquayrol !
Dans le monde des arts, chacun connaît l'œuvre du peintre postimpressioniste Henri Martin dont les œuvres sont très prisées des collectionneurs. La dernière toile mise en vente a dépassé les 700 000 €. Le Lot, et en particulier Labastide-du-Vert, ont été les thèmes favoris de cet artiste qui avait élu domicile à Marquayrol, dans une maison de caractère située sur les hauteurs de Labastide où il avait établi son immense atelier. Aujourd'hui, la maison du peintre vient d'être vendue au chanteur lyrique Jean-Jacques Lala, d'origine lotoise, qui a décidé d'en faire une haut-lieu artistique. La priorité du moment étant de sauver les jardins de Marquayrol car le peintre, à l'instar de Monet, avait fait de son parc un petit « Giverny » avec pergolas, bassins, massifs, aujourd'hui enfouis par une végétation exhubérante.
A l'initiative de l'écrivain Jean-Pierre Alaux, ce week-end, a été portée sur les fonts baptismaux l'ARJEHM (Association pour la Réhabilitation des Jardins Extraordinaires d'Henri Martin) dont la vocation est bien sûr de réinventer cet espace naturel enchanteur et de le restituer tel qu'il était du temps du peintre. Déjà une cinquantaine de Lotois ont adhéré à ce projet exaltant qui intéresse au plus haut point les collectivités territoriales à quelques mois de la réouverture du musée Henri Martin de Cahors.
Fidèle au Salon du Livre de Saint-Estèphe (33), l'auteur du "Sang de la vigne" sera, cette année encore, l'invité d'honneur de ce salon qui se déroulera le dimanche 3 octobre dans cette cité réputée du Médoc. Il y présentera son dernier roman qui se situe précisément à Saint-Estèphe, mais aussi à Bordeaux et sur le Bassin d'Arcachon "Fontaine, je ne boirai pas de ton sang" (Geste Noir Editions). Il sera aux côtés de Mireille Dumas, Mylène Demongeot, Anne Gosciny, Christine Clerc et de Katherine Pancol, autres invités de ce salon qui, au fil des ans, a acquis ses lettres de noblesse.
Sortie cette semaine de la biographie de David Labarre, un sportif malvoyant qui a fait de son handicap un atout. Sous le titre "L'Aventure à perte de vue", Jean-Pierre Alaux conte le parcours de ce champion paralympique de cécifoot qui, aujourd'hui, s'adonne avec succès à l'alpinisme. Une enfance difficile, en décrochage scolaire, David "le bigleux" n'a qu'une passion : le ballon rond. Cette addiction sera sa planche de salut jusqu'à décrocher une médaille d'argent aux Jeux Paralympiques de Londres. Désormais, c'est la montagne qui l'obsède. Ce garçon de 32 ans, né au pied des Pyrénées, a gravi l'Aneto, le Mont-Blanc et s'apprête à conquérir le Toubkal au Maroc. Son prochain objectif : les sommets de l'Himalaya ! Un livre témoignage qui balaie bien des idées reçues sur le handicap.
Durant tout l'été, Jean-Pierre Alaux, livre sur l'antenne de Totem, la radio du sud de la France, ses coups de coeur en matière de livres.
L'auteur du "Sang de la vigne" évoque chaque samedi à 11 h 30 les romans qui enchantent ses nuits à la belle étoile ou à l'heure de la sieste.
Parmi ses livres de chevet, notons le roman de Jean-Charles Chapuzet "Du bleu dans la nuit" (Marchiali) ou encore le premier roman d'Olivier Minne " Un château à Hollywood" (Séguier éditions)... A écoutez sur Totem.fr
Le monde de l'édition sort de sa torpeur. Les librairies ont, peu à peu, repris du service. Et c'est heureux ! Aussi la sortie du tome 7 des aventures de Séraphin Cantarel qui était prévue pour le 15 avril dernier est annoncée pour la mi-juin. Le roman intitulé "Fontaine, je ne boirai pas de ton sang" parait au Geste Noir, tout comme son précédent titre "Quand le diable dansait à Ilbarritz" qui a fait l'objet d'une réédition.
Après avoir rédigé la biographie du perchiste Romain Mesnil (Solar), Jean-Pierre Alaux met actuellement un point final à celle de David Labarre. Ce garçon des Pyrénées est né malvoyant. Après des études chaotiques, il se lance dans le cécifoot jusqu'à devenir champion de France et d'Europe et obtenir la médaille d'argent aux jeux paralympiques de Londres. Puis, il abandonne cette discipline pour s'adonner à l'alpinisme. En 2019, il inscrit à son actif le Pic d'Aneto et le Mont-Blanc avant d'envisager le Toubkal au Maroc et un sommet du Népal en 2021. Le sportif au mental d'acier et à l'énergie débordante a mis à profit cette période de confinement pour confier les temps forts de sa carrière à Jean-Pierre Alaux. L'ouvrage paraîtra à la rentrée chez l'éditeur bordelais Elytis (diffusion Harmonia Mundi) sous le titre "David Labarre, l'aventure à perte de vue. Le livre sera préfacé par l'acteur Samuel Le Bihan.
Après le Prix des Trois Couronnes décerné au printemps dernier à Biarritz, Jean-Pierre Alaux est lauréat du Prix du livre de Saint-Estèphe pour son livre "Quand le diable dansait à Ilbarritz" (Geste Noir). Il lui a été remis ce week-end dans le cadre du Château Meyney, face à l'estuaire de la Gironde sous un ciel radieux. A noter que le prochain roman sortira en mars prochain sous le titre "Fontaine, je ne boirai pas de ton sang" (au Geste Noir) avec une nouvelle intrigue qui va se nouer entre Bordeaux et précisément le vignoble de Saint-Estèphe.
Comme chaque année, du 5 au 8 février, Jean-Pierre Alaux sera à Luchon dans les Pyrénées pour le Festival des créations télévisuelles. Il assurera bien sûr la couverture de cette manifestation pour la radio Totem au travers de son billet quotien (7 h 15) et co-animera sur le plateau de Luchon TV une émission tous les soirs de 18 h à 19 heures où il accueillera à son micro les vedettes du petit écran invitées à Luchon. L'occasion aussi pour l'auteur du "Sang de la vigne" de cotoyer ceux qui feront la fiction de demain...
Ce mercredi, RMC Story a réalisé sa meilleure audience de l'année 2019 en diffusant l'épisode du Sang de la vigne, adapté du livre de Jean-Pierre Alaux et Noël Balen : On n'achève bien les tonneaux (Fayard) dont l'intrigue se nouait dans le vignoble de Cahors. Cette diffusion a réuni 1,6 millions de téléspectateurs, plaçant ainsi RMC Story en 4ème place des chaînes de la TNT. Le Sang de la vigne est diffusé en prime, à 20 h 50, le mercredi sur RMC Story (canal 23).